Photo 1 : (de G. à D.) Charles Haas, Alain Coldefy, Marion Arnold, Kadir Edemen, Claire Le Van et Cyrille Schott.
Le projet « L’Europe, le miracle de la paix » a reçu le prix « Honneur en action » de la Société des membres de la Légion d’Honneur (SMLH). Accompagné d’une dotation de 2000 €, ce prix a été remis le 19 décembre 2023 par l’amiral Alain Coldefy, président de la SMLH, dans les salons du Gouverneur militaire de Paris, à l’hôtel national des Invalides. Ce projet a été élaboré par Claire Le Van, professeure de philosophie et référente UNESCO du lycée du Haut-Bar de Saverne, en liaison avec la SMLH du Bas-Rhin, qui l’a présenté au plan national. Claire Le Van, accompagnée de deux élèves acteurs du projet, Marion Arnold et Kadir Edemen, a reçu le diplôme en présence du préfet honoraire Cyrille Schott, président de la SMLH 67, et de Charles Haas, président d’honneur. En cette année d'élections européennes, ce projet sensibilisera les jeunes au « miracle de la paix » que représente la construction européenne. Il repose sur un large partenariat, qui s’étend à cinq lycées et collèges savernois, avec un bassin de recrutement de 200 communes, et aux instances culturelles de Saverne. Il s’ouvre sur Strasbourg, dans un partenariat avec l’École Européenne. Il se déploie en Haute-Marne et à Paris. Grâce à des sorties, conférences et ateliers, les élèves bénéficieront d’éclairages sur les visionnaires de l’Europe, comme Louise Weiss, sur les Pères fondateurs, tel Robert Schuman, sur l’amitié franco-allemande. Ils rencontreront des acteurs de l’Europe, notamment au Parlement européen et au Conseil de l’Europe. Parmi les temps forts on compte le regroupement des participants au Mémorial de l’Europe à Berus en Sarre, et une rencontre au Zornhoff de Monswiller, où les jeunes écouteront des chants chorals, puis entonneront l’hymne européen en trois langues. Une cérémonie de clôture avec la remise du diplôme UNESCO d’acteur et d’actrice de paix aura lieu à Strasbourg.
1. Matinée : Promenade dans Paris pour se rendre au musée d’Orsay
Photo 2 : Marion et Kadir dans les couloirs du métro. Pour Kadir, c’est une première !
Photo 3 : Le trio de choc à la station de métro du Louvre, avec le fameux « Métropolitain » en style Art Nouveau.
Photo 4 : Notre promenade matinale nous conduit au Louvre, où nous pouvons admirer la pyramide.
Photo 5 : Le jardin du Carrousel avec deux magnifiques statues contemporaines !
Photo 6 : Nous sommes au Jardin des Tuileries, classé au titre des monuments historiques depuis 1914, qui se situe au sein d'un site inscrit et inclus dans la protection du patrimoine mondial de l’UNESCO concernant les berges de la Seine.
Photo 7 : Kadir et Marion en bord de Seine, avec le musée d’Orsay de l’autre côté des quais.
Photo 8 : Mme Le Van et Marion devant la statue de Paul Landowski : les fils de Caïn, avec une des ailes du Louvre en arrière-plan.
Photo 9 : Les deux expositions temporaires que nous allons découvrir au musée d’Orsay.
Van Gogh à Auvers-sur-Oise (jusqu'au 04 février 2024) : Le 17 mai 1890, Van Gogh arrive à Paris, après un séjour d’un an dans un hospice pour aliénés à Saint-Rémy-de-Provence, où il s’est fait interner volontairement après plusieurs crises de démence. Il s’installe dès le 20 mai à Auvers-sur-Oise, un village situé à une trentaine de kilomètres au nord de Paris, où habite un médecin spécialiste de la mélancolie, le Dr. Paul Gachet. Pendant 70 jours, alternant confiance et angoisse, il peint et dessine frénétiquement 74 tableaux et de nombreux dessins. Il produit aussi sa première gravure. Le 27 juillet, en pleins champs, il se tire une balle de revolver et meurt le 29, dans sa chambre de l’auberge Ravoux.
Photo 10 : Van Gogh, Autoportrait, septembre 1889 (avant dernier de ses 35 autoportraits peints).
Photo 11 : Van Gogh, Bords de l’Oise à Auvers-sur-Oise, seconde moitié de juin 1990.
Photo 12 : Van Gogh, L’église d’Auvers-sur-Oise, 1890.
Photo 13 : Van Gogh, Chaumes de Cordeville à Auvers-sur-Oise, fin mai-début juin 1890.
Photo 14 : Van Gogh, Roses et renoncules, vers le 1er-3 juin 1890.
Photo 15 : Van Gogh, Vase aux fleurs, première moitié de 1890.
Photo 16 : Marion et Kadir à côté de l’œuvre de Van Gogh, Vergers à Auvers-sur-Oise, 1890.
Photo 17 : Dans les couloirs d’Orsay, des effets de miroir !
Photo 18 : Van Gogh, Champ de blé aux corbeaux sous des nuages d’orage, 9 juillet 1890.
2. Déjeuner au restaurant du musée d’Orsay
Au cœur de l’art décoratif des années 1900. Au sein du pavillon Amont, surplombant la nef de cette ancienne gare, et sa monumentale horloge, le restaurant du musée d’Orsay est une magnifique référence à la tradition française, dont les fresques de Gabriel Ferrier et Benjamin Constant tapissent les plafonds de la grande salle à manger et son salon. Les lustres, les plafonds peints et les dorures de cette salle classée monument historique, contribuent à sublimer le moment unique que l’on vit en ces lieux. Attaché aux plats de saison, gourmands et raffinés, le chef met en valeur le savoir-faire à la française. Il aime surprendre les convives du restaurant en allant chercher l’inspiration, toujours en lien avec les expositions du musée.
Photo 19 : Nous arrivons à l’heure d’ouverture pour éviter de faire la queue, la salle est magnifique !
Photo 20 : Marion avec un plat raffiné, devant un mur recouvert de moulures dorées.
Photo 21 : Avec les enfilades de chandeliers en cristal derrière lui, Kadir est enchanté par ce restaurant d’exception.
Photo 22 : Mme Le Van est heureuse de faire découvrir ce lieu somptueux aux deux élèves porte-paroles du lycée du Haut-Barr.
Photo 23 : Des fresques au plafond de Gabriel Ferrier de grande beauté : ce restaurant est un musée dans le musée !
3. Après-midi
A. Louis Janmot, Le Poème de l’âme (du 12 septembre 2023 au 07 janvier 2024) : Commencé à Rome en 1835 et poursuivi jusqu’en 1881, Le Poème de l’âme est le grand œuvre de l’artiste lyonnais Louis Janmot (1814-1892), à la fois pictural et littéraire. Il illustre en 34 compositions, accompagnées d’un long poème, le parcours initiatique d’une âme sur la Terre. Formé de deux cycles respectivement composés de 18 peintures et de 16 grands dessins, il fut qualifié par Henri Focillon, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon de 1913 à 1924, « d’ensemble le plus remarquable, le plus cohérent et le plus étrange du spiritualisme romantique ».
Photo 24 : Louis Janmot (1814 1892), Le Poème de l'âme. L’idéal, vers 1850 – 1854, Lyon, musée des Beaux-Arts, © Lyon, musée des Beaux-Arts / Alain Basset.
Janmot, peintre de l’âme, est un artiste très singulier dans son temps, mais son œuvre fait écho à celle de plusieurs autres artistes tels que William Blake, Philipp Otto Runge ou Francisco de Goya avant lui, ses contemporains les Préraphaélites, ou encore, plus tard, les symbolistes, en particulier Odilon Redon qui a été en contact avec lui. L’exposition replace Le Poème de l’âme et son auteur à la croisée de références, d’influences et de courants aussi bien littéraires, religieux et philosophiques qu’artistiques.
Photo 25 : Louis Janmot (1814 – 1892) Autoportrait, 1832 Huile sur toile, 81,5 x 65,8 cm Lyon, musée des Beaux - Arts Achat avec le concours de l’Etat et de la région Rhône - Alpes dans le cadre du Fonds régional d’acquisition des musées (FRAM), 2010 (Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset).
Photo 26 : La naissance de l’âme avec son ange gardien.
Le premier cycle, achevé en 1854, raconte les premières années au Ciel et sur la Terre d’une âme, représentée sous les traits d'un jeune garçon et accompagnée d’une jeune fille. On suit les étapes et les vicissitudes de leur parcours, de la naissance du garçon jusqu’à la mort prématurée de la jeune femme. Théophile Gautier et Baudelaire furent attirés par ces toiles exposées à l'Exposition Universelle de 1855, grâce à l’intervention de Delacroix. Achevé en 1881, le second cycle raconte comment le garçon, désormais seul, est confronté aux tentations et aux malheurs de l’âme humaine.
Photo 27 : Louis Janmot L’Âme, poème. Trente - quatre tableaux et texte explicatif par L. Janmot. Avec le portrait de l’auteur et trente - quatre photographies au charbon d’après les originaux Saint - Étienne, imprimerie Théolier & Cie, 1881 ; 32,5 x 25,5 cm Lyon, musée des Beaux - Arts, bibliothèque Image © Lyon MBA. Photo Martial Couderette.
Un poème de 2814 vers, écrit par Janmot et intitulé L’Âme, accompagne les œuvres. Il renforce leur signification et leur est indissociable. L’ensemble compose une œuvre hybride, littéraire et picturale, qui invite à la contemplation, à l’écoute, à la déambulation. L’exposition fera découvrir Le Poème de l’âme dans son intégralité. Si le premier cycle est exposé dans le parcours permanent du musée des Beaux-Arts de Lyon, le second, plus fragile, n’est que très rarement montré. À l’instar des protagonistes du Poème de l’âme, le public explorera les mystères que recèlent ces images, lors d’une déambulation étape par étape, voyage initiatique à travers les œuvres. L’exposition fera coexister les deux modes d’expression, visuel et textuel. Ainsi, le visiteur pourra entendre le poème tout en contemplant les tableaux.
Photo 28 : Louis Janmot, Le Poème de l’âme. Rayons de soleil (détail), vers 1854, fusain et rehauts de gouache blanche et rose sur papier 111 x 142 cm Lyon, musée des Beaux -Arts © Agathe Hakoun/Connaissance des Arts.
Photo 29 : La deuxième série, plus fragile, est exceptionnellement montrée au public.
B. Parcours dans les collections permanentes : l’impressionnisme.
Photo 30 : Marion et Kadir devant l’une des grandes horloges du Musée d’Orsay, anciennement gare d’Orsay.
Photo 31 : Claude Monet, Londres, le Parlement. Trouée de soleil dans le brouillard, 1904.
Photo 32 : Claude Monet (1840-1926), Le Bassin aux nymphéas : harmonie verte, 1899.
Photo 33 : Marion et Kadir à côté de l’œuvre de Claude Monet, Le Déjeuner sur l'herbe, entre 1865 et 1866.
Photo 34 : Mme Le Van et Kadir fascinés par l’œuvre de Henri Fantin-Latour, Hommage à Delacroix,1864.
Photo 35 : Vincent Van Gogh (1853-1890), La nuit étoilée, 1888.
Photo 36 : Vincent Van Gogh, Fritillaires couronne impériale dans un vase de cuivre, 1887.
Photo 37 : Vincent Van Gogh, Chambre à coucher de Vincent Van Gogh à Arles, 1888.
Photo 38 : Un moment de repos après toutes ces magnifiques découvertes !
Photo 39 : Nous quittons Orsay en admirant le robuste éléphant d’Emmanuel Fremiet, 1878.
C. Le musée Rodin
Photo 40 : En chemin vers le musée Rodin, Marion, qui est passionnée de Christian Dior, ne peut s’empêcher de poser devant l’affiche du parfum « J’adore » ! C’est vrai qu’on l’adore, Marion !
Photo 41 : Toujours en route vers le musée Rodin, un clin d’œil à notre projet « L’Europe, le miracle de la paix », au 68, rue de Bellechasse : Mme Le Van devant le Secrétariat général des Affaires européennes (SGAE).
Photo 42 : La plaque du SGAE.
Photo 43 : Dans le jardin de l’Hôtel Biron, Marion et Mme Le Van devant le fameux Penseur (1903) d’Auguste Rodin ! (N’oublions pas que cette œuvre pourrait illustrer l’enseignement cartésien : « Je pense, donc je suis »).
Photo 44 : La porte de l’enfer d’Auguste Rodin (1840 – 1917), date de conception : 1880-vers 1890, exposée dans le Jardin.
Photo 45 : Les non moins célèbres Bourgeois de Calais, 1884-1889, d’Auguste Rodin (que nous avons pu admirer à Calais, l’année précédente, placés devant la tour du Beffroi de l’Hôtel de Ville classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, lors du séjour en octobre 2022 au lycée Sophie Berthelot, pour présenter l’exposition : « Guerre et paix dans les Balkans » : ).
Photo 46 : La cathédrale (1908) d’Auguste Rodin, avec non pas deux mais quatre mains ! Devinez à qui appartiennent les deux mains ajoutées ?!
Photo 47 : Rodin, collectionneur éclairé d’art, possédait trois œuvres de Van Gogh, notamment : Le Paysage de moisson (1888 ; également intitulé Les Moissonneurs), un tableau très apprécié du sculpteur, qu’il a acquis auprès du marchand Amédée Schuffenecker après 1905. Aux yeux de Rodin, Van Gogh compte parmi les plus grands paysagistes, ainsi qu’il le déclare à l’homme de lettres Ricciotto Canudo, lorsque ce dernier lui rend visite à Meudon en 1913 : « Van Gogh et Renoir sont les deux plus grands peintres de notre temps. Le paysage pour l’un, le nu humain pour l’autre, ont été si magnifiés qu’il faut beaucoup apprendre de leur art.… ».
Photo 48 : Rodin, La voix intérieure ou la méditation, date de conception : 1896. Construite autour d’une ligne serpentine, en un contraposto inachevé, La Méditation trouve son origine dans une figure du tympan de La Porte de l’Enfer, inspirée de Michel-Ange. Elle fut ensuite reprise dans le Monument à Victor Hugo, puis agrandie, sous le titre de Voix intérieure. Elle représentait alors l’une des muses inspiratrices du poète. C’est pour l’insérer dans le monument que Rodin la priva de ses bras et amputa une partie de ses jambes. Isolée de ce contexte, elle fut reprise ainsi et exposée à Dresde et à Stockholm en 1897, mais fut mal comprise du public, en raison de son aspect incomplet. Il s’agit cependant d’une œuvre chère à Rodin, pour laquelle Rilke donna l’interprétation suivante : « Nous sommes surpris de voir que les bras manquent. Rodin les éprouva dans ce cas […] comme quelque chose qui ne s'accordait pas avec le corps qui voulait s'envelopper en soi-même [...] Il en est de même des statues sans bras de Rodin ; il ne leur manque rien de nécessaire. On est devant elles comme devant un tout, achevé et qui n'admet aucun complément » (Rilke, 1928).
Photo 49 : Rodin faisait la collection de vestiges de l’antiquité, notamment des fragments de pieds de statues grecques et romaines.
Photo 50 : L’homme qui marche d’Auguste Rodin (1907 - Fonte réalisée par la fonderie Alexis Rudier en 1913). Souvent considéré comme le symbole de la création pure enfin débarrassée du poids du sujet, L'Homme qui marche apparaît comme l'image même du mouvement.
Photo 51 : Le Penseur de Rodin dans le parc du docteur Linde à Lübeck, tableau du peintre norvégien Edvard Munch réalisé vers 1907.
Photo 52 : En bas de l’escalier monumental de l’Hôtel Biron, Mme Le Van et Marion à côté d’un magnifique sapin décoré : cette escapade parisienne est un véritable cadeau de Noël !
4. Remise du prix
Photo 53 : Marion et Kadir près de l’Hôtel national des Invalides avec en arrière-plan une vue sur la Tour Eiffel.
Photo 54 : Nous franchissons le portail monumental de l’Hôtel national des Invalides.
Photo 55 : Le trio savernois dans la Cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides.
Photo 56 : Dans les salons du Gouverneur militaire de Paris, devant le sapin de Noël.
Photo 57 : Marion et Kadir, devant une magnifique glace des salons du Gouverneur militaire de Paris.
Photo 58 : Marion, Mme Le Van et Kadir devant la naïade de la grotte intérieure des salons du Gouverneur militaire de Paris.
Photo 59 : Le trio savernois dans la salle de remise des diplômes « L’Honneur en action » 2023 de la SMLH.
Photo 60 : Les représentants des divers projets primés par la SMLH. Au premier rang, le président de la SMLH 67, Cyrille Schott avec le président d’honneur, Charles Haas.
Photo 61 : Le discours d’accueil de l’Amiral Alain Coldefy, président national de la SMLH, suivi de la prise de parole de Mme Beauvais rappelant les valeurs phares des projets primés : paix, solidarité, fraternité, citoyenneté, courage civique, résistance, devoir de mémoire.
Photo 62 : Le discours de remerciement de Claire Le Van, récipiendaire, avec Charles Hass, du prix « L’Honneur en action » 2023, pour le projet UNESCO « L’Europe, le miracle de la paix ».
Photo 63 : La présentation des étapes du projet UNESCO « L’Europe, le miracle de la paix » par Kadir Edemen.
Photo 64 : La présentation des étapes du projet qui ont déjà été effectuées par Marion Arnold.
Photo 65 : Lors de la remise des diplômes, de G. à D. : Charles Haas, Alain Coldefy, Marion Arnold, Kadir Edemen, Claire Le Van et Cyrille Schott.
Photo 66 : L’Amiral Coldefy félicite au fur et à mesure les porteurs des projets primés.
Photo 67 : Une journée sous le signe de la lumière, en attestent les magnifiques lustres des salons du Gouverneur militaire de Paris.
Photo 68 : Vase ornant les salons du Gouverneur militaire de Paris. Il y avait des clins d’œil des anges lors de cette journée exceptionnelle !
De vifs et chaleureux remerciement à la SMLH, en particulier au président national, l’Amiral Alain Coldefy, au président de la SMLH 67, Cyrille Schott, à son président d’honneur Charles Haas pour leur indéfectible soutien, à Mme Beauvais pour sa parfaite organisation, à la section d’Alsace du Nord de la SMLH, avec sa présidente Marie-Laure Jundt, et les légionnaires Roland Sinteff et Gilles Beuriot pour leur participation active et dévouée, ainsi qu’à la section de la SMLH de la Haute-Marne, avec son président Didier Ménetrat et son président d’honneur le Gal Claude Mendousse pour leur lumineuse collaboration !
Merci à tous nos partenaires financeurs : la Ville de Saverne et ses instances culturelles (l’Espace Rohan, le Musée du château des Rohan, l’École de musique Crescendo) ; le Rotary Club et le Lions Club de Saverne ; la Fondation « Frieden lernen, Frieden schaffen »…
Merci à nos partenaires collaborateurs : les quatre établissements savernois : le collège Poincaré et le collège des Sources, le lycée Jules Verne et le lycée Leclerc ; l’Ecole européenne de Strasbourg ; le collège Simone Veil d’Herrlisheim ; l’établissement international de Junglinster au Luxembourg, le lycée Robert Schuman à Saarlouis en Allemagne…
Un grand merci à notre proviseur Roland Buttner, notre proviseure-adjointe Laurence Jézéquel, et notre gestionnaire Morgane Montembault pour leur soutien souriant et leur disponibilité efficace et bienveillante !
Merci à Marion Arnold et Kadir Edemen pour le courage qu’ils ont eu de relever avec brio ce défi, et pour leur enthousiasme communicatif tout au long de la journée ! Merci à tous les élèves qui vont s’engager dans cette belle aventure humaniste !
Claire Le Van, le 07. 01. 2024
*Article DNA, pages régionales, version papier : 24. 12. 2023 : « Le projet L’Europe, le miracle de la paix primé ».